Appuyé sur une canne, encadré par deux hommes bien bâti qui semblait aussi bien lui servir de garde que d'escorte, Vincent attendait, il se sentait étrange, des brides de sa mémoire avait disparut et il avait du mal à se concentrer, cela était un symptôme normale de la cryogénisation, mais tout de même, cela l'ennuyait un peu.
L'ancien médecin fit quelques pas, chacun de ses mouvements observé à la loupe par les deux gorilles. Ses pas hésitant résonnaient au son de sa canne de fortune, une simple barre en fer, sur l'acier froid et dure du pont. Le terrien, car après tout c'est ce qu'il était passait son regard de gauche à droite, attendant quelque chose, ou quelqu'un. Dans son esprit mille questions le harcelé, comment l'Humanité s'en était-elle sortie? Combien de survivant de l'Avengia avait on retrouvé? En quel année étions nous? Qui était cette personne avec des cornes? Etait-ce une extraterrestre ou bien un humain ayant subit des mutations génétiques?
Le son de sa canne de fortune résonna encore lorsqu'il s'approcha de ce qui devait être un écran. Cette maudite canne! Elle faisait un bruit d'enfer, enfin, juste le temps que ses muscles quelques peu atrophiés ne reprennent leur fonctions pleines et entières et il pourrait la balancer aux ordures!
Non, en fait, le plus énervant n'était pas en soit la canne, c'était juste le silence qu'elle seul brisée. Les gardes ne disait rien, il ne savait même pas où il était, il y avait comme seul bruit de fond le ronronnement des machines.
Ce silence pesant ne l'aidait en rien pour réfléchir, lui avait l'habitude des râles des blessés et des cris des mourants, ce manque de bruit l'exaspérait.
Il lâcha pour brisé une nouvelle fois le mutisme qu'il affichait:
-Dites, Vous comprenez quand je parle, ou on vous a pas appris à parler, Car là je me fait doucement...Chier...
Les deux gardes muets se lancèrent un regard éloquent, sans aucune paroles, puis se remirent à fixer cet homme qui était pour eux un parfait inconnu.
Vincent soupira alors une nouvelle fois puis s'assit dos à l'écran, maudissant à tours de rôle l'incompétence du capitaine, les militaires, les technologies modernes et les non-fumeurs.
Il se serait damné pour un cigare, oui, un de ces petits cigare de Cuba qu'il avait amené avec lui, ah Cuba...Son soleil, sa musique...
L'ancien médecin fit quelques pas, chacun de ses mouvements observé à la loupe par les deux gorilles. Ses pas hésitant résonnaient au son de sa canne de fortune, une simple barre en fer, sur l'acier froid et dure du pont. Le terrien, car après tout c'est ce qu'il était passait son regard de gauche à droite, attendant quelque chose, ou quelqu'un. Dans son esprit mille questions le harcelé, comment l'Humanité s'en était-elle sortie? Combien de survivant de l'Avengia avait on retrouvé? En quel année étions nous? Qui était cette personne avec des cornes? Etait-ce une extraterrestre ou bien un humain ayant subit des mutations génétiques?
Le son de sa canne de fortune résonna encore lorsqu'il s'approcha de ce qui devait être un écran. Cette maudite canne! Elle faisait un bruit d'enfer, enfin, juste le temps que ses muscles quelques peu atrophiés ne reprennent leur fonctions pleines et entières et il pourrait la balancer aux ordures!
Non, en fait, le plus énervant n'était pas en soit la canne, c'était juste le silence qu'elle seul brisée. Les gardes ne disait rien, il ne savait même pas où il était, il y avait comme seul bruit de fond le ronronnement des machines.
Ce silence pesant ne l'aidait en rien pour réfléchir, lui avait l'habitude des râles des blessés et des cris des mourants, ce manque de bruit l'exaspérait.
Il lâcha pour brisé une nouvelle fois le mutisme qu'il affichait:
-Dites, Vous comprenez quand je parle, ou on vous a pas appris à parler, Car là je me fait doucement...Chier...
Les deux gardes muets se lancèrent un regard éloquent, sans aucune paroles, puis se remirent à fixer cet homme qui était pour eux un parfait inconnu.
Vincent soupira alors une nouvelle fois puis s'assit dos à l'écran, maudissant à tours de rôle l'incompétence du capitaine, les militaires, les technologies modernes et les non-fumeurs.
Il se serait damné pour un cigare, oui, un de ces petits cigare de Cuba qu'il avait amené avec lui, ah Cuba...Son soleil, sa musique...