« Aie ! »
Newton faillit lâcher son gros panier à linge en sentant de terribles petites douleurs au mollet gauche.
« Nom de... »
Chancelant, il essaya de se retourner pour voir ce qui manqué de provoquer sa chute, même s'il savait déjà ce qu'il allait découvrir. Qu'il n'y est personne derrière lui confirma ses suspicions et il leva la jambe gauche avec un soupir blasé.
« Pancakes... »
Fermement accroché à sa jambe, Pancakes le regardait. Ou plutôt, Newton devina qu'il le regardait. C'était difficile à dire avec ses yeux qui louchaient, mais l'intendant était prêt à parier que le matou l'observait. Il le prenait certainement pour un mur, comme à son habitude. Newton, le mur à araignée, voilà comment il devait apparaître au chat : un merveilleux support pour grimper. Le pied.
« T'es con, tu sais.
-Maow ! »
Ce fut le miaulement du chat vainqueur qui dégringole tout seul de la jambe de Newt, pourtant presque à l'horizontale. L'intendant leva les yeux au ciel en souriant et Pancakes partit découvrir d'autres murs à escalader.
Newton put reprendre son trajet tranquillement, le panier à linge toujours dans les mains. Direction la cabine d'Erwyn. Car combat ou pas combat, vaisseaux noirs ou pas vaisseaux noirs, bordel ou pas bordel, pour l'intendant, il n'en restait pas moins de linge à laver. Draps, pantalons, pulls, chemisiers, sous-vêtements... Le linge sale n'attendait jamais, c'était une guerre sans relâche pour les intendants.
Newton prit une grande inspiration avant d'entrer dans la cabine, priant pour qu'Erwyn n'y soit pas, pour qu'elle soit n'importe où ailleurs, sur le Pont, dans la salle des machines, à l'infirmerie, n'importe où, mais pas ici. Il savait parfaitement qu'il ne pourrait plus l'éviter longtemps et que tôt ou tard il devrait échanger trois mots avec elle, mais quitte à choisir, il préférait que ce soit tard et non tôt.
Mais le linge, lui n'attendait pas, la penderie d'Erwyn devait être remplie ! Que dirait-elle si elle n'avait plus rien sur le dos ? Elle n'irait certainement pas dans les couloirs en chemise de nuit. Newton n'avait pas le choix : c'était soit les culottes propres, soit ne plus voir Erwyn.
Finalement, l'intendant entra doucement dans la cabine, le regard fixé sur son panier à linge.
Newton faillit lâcher son gros panier à linge en sentant de terribles petites douleurs au mollet gauche.
« Nom de... »
Chancelant, il essaya de se retourner pour voir ce qui manqué de provoquer sa chute, même s'il savait déjà ce qu'il allait découvrir. Qu'il n'y est personne derrière lui confirma ses suspicions et il leva la jambe gauche avec un soupir blasé.
« Pancakes... »
Fermement accroché à sa jambe, Pancakes le regardait. Ou plutôt, Newton devina qu'il le regardait. C'était difficile à dire avec ses yeux qui louchaient, mais l'intendant était prêt à parier que le matou l'observait. Il le prenait certainement pour un mur, comme à son habitude. Newton, le mur à araignée, voilà comment il devait apparaître au chat : un merveilleux support pour grimper. Le pied.
« T'es con, tu sais.
-Maow ! »
Ce fut le miaulement du chat vainqueur qui dégringole tout seul de la jambe de Newt, pourtant presque à l'horizontale. L'intendant leva les yeux au ciel en souriant et Pancakes partit découvrir d'autres murs à escalader.
Newton put reprendre son trajet tranquillement, le panier à linge toujours dans les mains. Direction la cabine d'Erwyn. Car combat ou pas combat, vaisseaux noirs ou pas vaisseaux noirs, bordel ou pas bordel, pour l'intendant, il n'en restait pas moins de linge à laver. Draps, pantalons, pulls, chemisiers, sous-vêtements... Le linge sale n'attendait jamais, c'était une guerre sans relâche pour les intendants.
Newton prit une grande inspiration avant d'entrer dans la cabine, priant pour qu'Erwyn n'y soit pas, pour qu'elle soit n'importe où ailleurs, sur le Pont, dans la salle des machines, à l'infirmerie, n'importe où, mais pas ici. Il savait parfaitement qu'il ne pourrait plus l'éviter longtemps et que tôt ou tard il devrait échanger trois mots avec elle, mais quitte à choisir, il préférait que ce soit tard et non tôt.
Mais le linge, lui n'attendait pas, la penderie d'Erwyn devait être remplie ! Que dirait-elle si elle n'avait plus rien sur le dos ? Elle n'irait certainement pas dans les couloirs en chemise de nuit. Newton n'avait pas le choix : c'était soit les culottes propres, soit ne plus voir Erwyn.
Finalement, l'intendant entra doucement dans la cabine, le regard fixé sur son panier à linge.