[HJ : À qui veut et qui peut… Si personne ne répond, c’est pas grave, j’irais me pendre. =D
Ça se passe pendant le scénario.]
« Merci !
- Je vous en prie.
- C’est ça, dégage tas de tripes… Termina HK tandis que le maître de seconde classe, section maintenance, – charmant, au demeurant – s’éloignait accompagné de ses collègues. »
Kiba lança un regard à la fois noir et amusé (ne cherchez pas, il n’y a que Kiba qui peut le faire) au droïde.
« HK…
- Oui, Maître ?
- Ce n’était pas très courtois. J’ai vraiment de la chance qu’on ne retienne pas contre moi tes impolitesses… »
Les diodes qui matérialisaient les yeux du droïde clignotèrent faiblement. Kiba commençait à reconnaître ces signes et à les comprendre. Cette réaction était l’équivalent d’un plissement des yeux pour les êtres vivants.
HK 53 regarda son maître qui quittait le hangar où reposait le Progressive à ses côtés. Alehando Calrissian n’était assurément pas un tas de tripes comme les autres. Certes, HK avait noté sa distinction, son bon maintient et sa maîtrise du langage. Mais cela, il n’y accordait pas grande importance. Non, pour HK, le plus impressionnant, c’était une maîtrise de soi étonnante pour un tas de tripes secouées par ces abominables phénomènes que sont les sentiments, une intelligence digne des circuits les plus perfectionnés et une subtilité dont HK était presque jaloux. Si le droïde avait été doté de plusieurs couches de compréhensions, quand il comparait la lourdeur de ses sous-entendus à la finesse de ceux de son maître, il se disait qu’il y avait encore du travail à faire de ce côté-là pour les programmateurs d’intelligences artificielles. Car assurément, aucune IA ne surpassaient celle d’HK (qui était en plus associée à un squelette ergonomique, excellemment articulé, permettant au droïde un nombre de compétences inimaginables pour le tas de tripes commun) en intelligence et en subtilité. C’était évident. HK 53 était un bijou de technologie. Une entité supérieure à l’efficacité redoutable…
Après avoir loué et glorifié intérieurement cent fois la qualité de la marchandise qu’il était en quelques dixièmes de seconde, HK consentit enfin à répondre à son maître qui venait innocemment de lui signaler qu’il serait un mauvais droïde s’il ne modifiait pas un peu son comportement. Sa voix métallique adopta un ton plein de déférence (car il fallait être un tas de tripe sacrément culotté pour faire ce genre de sous-entendus à HK !).
« Je ferai attention à ce que cela n’arrive jamais, à l’avenir, maître. »
Kiba hocha la tête. Cependant, il s’interrogea avec un certain malaise sur la manière qu’aurait le droïde de procéder. Kiba n’aimait pas l’entendre dire « jamais ».
Mais tandis qu’ils arpentaient tous les deux les couloirs de Pandore, HK reprit la parole :
« Mais pour ma défense, Maître, je vous dirais que je ne suis pas programmé pour faire du transport de passagers…
- Ça, je m’en étais toujours douté… Marmonna Kiba. On ne peut rien faire de plus, HK. Si on avait pas aidé ces mécaniciens à rentrer plus vite avant le saut en hyperespace, on serait resté là à se tourner les pouces… »
- Cela aurait été très ennuyeux, concéda HK. Et maintenant, qu’est-ce qu’on fait ?
- Eh bien… On reste là à se tourner les pouces. »
Le silence d’HK en dit alors très long. Mais Kiba repéra une personne devant eux dans la coursive qui marchait d’un pas vif et qui avait l’air débordée.
« Ou pas. Hey ! »
Kiba se mit à courir avec élégance (là encore, ne cherchez pas, il n’y a que Kiba qui peut le faire) pour rattraper le membre d’équipage.
« Besoin d’un coup de main ? »
Ça se passe pendant le scénario.]
« Merci !
- Je vous en prie.
- C’est ça, dégage tas de tripes… Termina HK tandis que le maître de seconde classe, section maintenance, – charmant, au demeurant – s’éloignait accompagné de ses collègues. »
Kiba lança un regard à la fois noir et amusé (ne cherchez pas, il n’y a que Kiba qui peut le faire) au droïde.
« HK…
- Oui, Maître ?
- Ce n’était pas très courtois. J’ai vraiment de la chance qu’on ne retienne pas contre moi tes impolitesses… »
Les diodes qui matérialisaient les yeux du droïde clignotèrent faiblement. Kiba commençait à reconnaître ces signes et à les comprendre. Cette réaction était l’équivalent d’un plissement des yeux pour les êtres vivants.
HK 53 regarda son maître qui quittait le hangar où reposait le Progressive à ses côtés. Alehando Calrissian n’était assurément pas un tas de tripes comme les autres. Certes, HK avait noté sa distinction, son bon maintient et sa maîtrise du langage. Mais cela, il n’y accordait pas grande importance. Non, pour HK, le plus impressionnant, c’était une maîtrise de soi étonnante pour un tas de tripes secouées par ces abominables phénomènes que sont les sentiments, une intelligence digne des circuits les plus perfectionnés et une subtilité dont HK était presque jaloux. Si le droïde avait été doté de plusieurs couches de compréhensions, quand il comparait la lourdeur de ses sous-entendus à la finesse de ceux de son maître, il se disait qu’il y avait encore du travail à faire de ce côté-là pour les programmateurs d’intelligences artificielles. Car assurément, aucune IA ne surpassaient celle d’HK (qui était en plus associée à un squelette ergonomique, excellemment articulé, permettant au droïde un nombre de compétences inimaginables pour le tas de tripes commun) en intelligence et en subtilité. C’était évident. HK 53 était un bijou de technologie. Une entité supérieure à l’efficacité redoutable…
Après avoir loué et glorifié intérieurement cent fois la qualité de la marchandise qu’il était en quelques dixièmes de seconde, HK consentit enfin à répondre à son maître qui venait innocemment de lui signaler qu’il serait un mauvais droïde s’il ne modifiait pas un peu son comportement. Sa voix métallique adopta un ton plein de déférence (car il fallait être un tas de tripe sacrément culotté pour faire ce genre de sous-entendus à HK !).
« Je ferai attention à ce que cela n’arrive jamais, à l’avenir, maître. »
Kiba hocha la tête. Cependant, il s’interrogea avec un certain malaise sur la manière qu’aurait le droïde de procéder. Kiba n’aimait pas l’entendre dire « jamais ».
Mais tandis qu’ils arpentaient tous les deux les couloirs de Pandore, HK reprit la parole :
« Mais pour ma défense, Maître, je vous dirais que je ne suis pas programmé pour faire du transport de passagers…
- Ça, je m’en étais toujours douté… Marmonna Kiba. On ne peut rien faire de plus, HK. Si on avait pas aidé ces mécaniciens à rentrer plus vite avant le saut en hyperespace, on serait resté là à se tourner les pouces… »
- Cela aurait été très ennuyeux, concéda HK. Et maintenant, qu’est-ce qu’on fait ?
- Eh bien… On reste là à se tourner les pouces. »
Le silence d’HK en dit alors très long. Mais Kiba repéra une personne devant eux dans la coursive qui marchait d’un pas vif et qui avait l’air débordée.
« Ou pas. Hey ! »
Kiba se mit à courir avec élégance (là encore, ne cherchez pas, il n’y a que Kiba qui peut le faire) pour rattraper le membre d’équipage.
« Besoin d’un coup de main ? »