Dédale, une ville pleine de lumière, celle dispensé par le soleil de la planète. Les portes étaient ouvertes comme tous les jours de "beau" temps, car qui disait beau temps sur cette planète disait soleil écrasant de chaleur de ce côté ci. On envoyait souvent, à cette période de l'année, des missions chercher de la glace de l'autre côté de la planète pour faire face aux éventuelles pénuries des saisons plus difficiles (en particulier celle des tempêtes). Mais ce soir personne ne semblait vouloir rentrer par les portes nord.
Seul une femme visiblement songeuse était là dehors et attendait on ne sait qui, on ne sait quoi, elle ne le savait pas elle même c'était assez inutile de le lui demander. Peut être une part d'elle même attendait toujours ces parents, mais l'autre, la plus sage savait qu'ils avaient périt dans la nature parmi ce qu'ils aimaient plus que tout et sans doute même qu'eux-même.
Elle observait ses dunes de sable les observant se mouvoir au gré du vent qui aujourd'hui n'était qu'une brise assez douce. Ses longs cheveux se balançaient au rythme de celle-ci claquant par moment comme les drapeaux du gouvernement. C'était là qu'elle se rendait pendant la journée pour travailler demain elle avait de nombreuses choses à faire, mais rien de très intéressant pour le moment. Des tâches administratives voilà ce qu'elle voyait depuis plusieurs jours, elle détestait cela mais il fallait bien le faire donc elle s'y attelait deux ou trois fois par mois autant dire le moins souvent possible. La seule chose qu'elle faisait quotidiennement c'était lire son courrier, on ne savait jamais il y avait peut être quelque chose d'important.
Si on interrogeait le garde de la porte qui servait plus de guide, aux touristes fortunés perdus, que de garde il aurait répondu que celle femme était là déjà depuis au moins une heure, immobile à regarder les falaises à l'horizon. Lui ne voyait pas toute la richesse du paysage elle s'imprégnait du calme de ce qu'elle voyait pour se ressourcer. pourquoi pas ne pas faire la fête ce soir, un film Ase peut être, elle les aimaient plus que les autre en général, ou une soirée en tête à tête avec sa solitude. Elle n'y était pas encore, elle n'en savait rien. Si elle allait rendre visite à son ancienne voisine ce soir, vu l'heure elle ne devait pas encore être couchée.
Oui, c'était une bonne solution, mais pour l'heure elle continuait à observer la moindre petite aspérité des falaises que l'on voyait à l'ouest, celle qui cachaient la grande mer de glace où les températures polaires dominaient mais qui était la seule réserve importante d'eau de ce fichu caillou...
Seul une femme visiblement songeuse était là dehors et attendait on ne sait qui, on ne sait quoi, elle ne le savait pas elle même c'était assez inutile de le lui demander. Peut être une part d'elle même attendait toujours ces parents, mais l'autre, la plus sage savait qu'ils avaient périt dans la nature parmi ce qu'ils aimaient plus que tout et sans doute même qu'eux-même.
Elle observait ses dunes de sable les observant se mouvoir au gré du vent qui aujourd'hui n'était qu'une brise assez douce. Ses longs cheveux se balançaient au rythme de celle-ci claquant par moment comme les drapeaux du gouvernement. C'était là qu'elle se rendait pendant la journée pour travailler demain elle avait de nombreuses choses à faire, mais rien de très intéressant pour le moment. Des tâches administratives voilà ce qu'elle voyait depuis plusieurs jours, elle détestait cela mais il fallait bien le faire donc elle s'y attelait deux ou trois fois par mois autant dire le moins souvent possible. La seule chose qu'elle faisait quotidiennement c'était lire son courrier, on ne savait jamais il y avait peut être quelque chose d'important.
Si on interrogeait le garde de la porte qui servait plus de guide, aux touristes fortunés perdus, que de garde il aurait répondu que celle femme était là déjà depuis au moins une heure, immobile à regarder les falaises à l'horizon. Lui ne voyait pas toute la richesse du paysage elle s'imprégnait du calme de ce qu'elle voyait pour se ressourcer. pourquoi pas ne pas faire la fête ce soir, un film Ase peut être, elle les aimaient plus que les autre en général, ou une soirée en tête à tête avec sa solitude. Elle n'y était pas encore, elle n'en savait rien. Si elle allait rendre visite à son ancienne voisine ce soir, vu l'heure elle ne devait pas encore être couchée.
Oui, c'était une bonne solution, mais pour l'heure elle continuait à observer la moindre petite aspérité des falaises que l'on voyait à l'ouest, celle qui cachaient la grande mer de glace où les températures polaires dominaient mais qui était la seule réserve importante d'eau de ce fichu caillou...