Vivenef

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    Gyvre McWild, enseigne de maintenance [Terminé]

    Anonymous
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    Gyvre McWild, enseigne de maintenance [Terminé] Empty Gyvre McWild, enseigne de maintenance [Terminé]

    Message par Invité Mer 24 Juin 2009 - 19:30

    [HRP] La patronne m'a laissé en vie, j'ai pris ça pour un "ok, lance-toi"...[/HRP]

    Nom : McWild

    Prénom : Gyvre

    Surnom : Gyvre en a un certain nombre, mais comme on évite soigneusement de les utiliser quand il est dans le secteur, il n’en sais strictement rien. (exemples : le tas de ferraille, le givré, l’empêcheur de démolir son matos en rond…)

    Age : 29 ans

    Jour de naissance : 16 Juin

    Sexe : Masculin

    Race : Humain

    Unité : Pirate

    Profession / grade : Anciennement Sous lieutenant section maintenance, mais des évênements indépendants de sa volonté l’ont rétrogradé enseigne.

    Lieu de vie : La vivenef Adonis, en particulier dans les ateliers ou dans la salle des machines, quoique maintenant, l’infirmerie serait plus appropriée…

    Physique : Gyvre n’est pas particulièrement désagréable à regarder, avec ses traits taillés à la serpe, sa peau légèrement hâlée, ses longs cheveux bruns noués en queue de cheval et retenus sur son front par un bandeau de tissu et ses yeux d’un gris acier. Peut être aurait-il même eu du succès avec les filles si seulement il faisait un peu moins mastoc. En effet, le moins qu’on puisse dire, c’est que Gyvre est une force de la nature avec son 1m92 et ses 84 kilos de muscles.

    Enfin, quand je dis 84 kilos de muscles, c’était avant son accident. Maintenant, il pèse 88 kilos de muscles et de prothèses métalliques qui lui servent de jambes. Elles commencent à mi cuisse, sont constituées de plaques d’un alliage argenté quoiqu’un peu terne de métal très résistant épousant la forme de vraies jambes et protégeant les câbles et les systèmes de servomoteurs et d’antiques vérins. C’est pas spécialement joli à voir, ça l’empêche de se déplacer sans un cortège de chuintements, de grincements et autres crissements, mais ça développe une puissance bien supérieure à des jambes humaines, en plus de lui permettre de se tenir debout, ce qui vaut bien leurs quelques désagréments…

    En ce qui concerne les vêtements, Gyvre fait dans l’excentrique et dans le pratique. Des débardeurs noirs, des vestes sans manche en cuir de différentes couleurs, des pantalons avec souvent pas mal de poches pour y mettre un plein stock d’outils, des mitaines et une imposante ceinture de cuir aux attaches dorées et à la boucle en acier sur laquelle est gravée de façon brouillonne « FREE » (liberté pour les anglophobes Razz). Un bout de tissu rouge est accroché à la boucle et descend quasiment jusqu’au sol, parce que d’après lui c’est « cool ». Il ne met pas de chaussures puisque ses prothèses lui suffisent. Mais s’il est en train de travailler dans un atelier, il sera certainement torse nu avec une bonne couche de cambouis éparpillée un peu partout. Les risques du métier…

    Enfin, ça c’est pour le Gyvre des grands jours. Maintenant, après l’accident qui faillit lui couter la vie, il se trimballe en fauteuil roulant, suite à la destruction de ses guiboles en acier trempé. En ce moment, question habillement c’est torse nu, si on considère qu’avoir le torse recouvert de bandages imbibé de cambouis et d’huile c’est vraiment être torse nu…

    Caractère : En fait, pour résumer, il n’y a pas qu’un Gyvre, il y en a plusieurs, tous plus barrés les uns que les autres…

    Gyvre le bon vivant est la première personnalité d’Iron Man. Seul Gyvre doté d’un sens de l’humour, assez conséquent d’ailleurs, quand il ne mange ou ne boit pas, il rigole, il se marre ou encore il s’esclaffe. Bref, il s’amuse comme un petit fou, jouant aux cartes avec l’équipage, racontant blagues et bons mots… une perle quoi !

    Mais quand Gyvre est au travail, il devient Gyvre le braillard. D’un naturel extrèmement sérieux et appliqué, consciencieux et perfectionniste, il passe son temps à faire son boulot du mieux possible et à engueuler comme du poisson pourri tout ce qui a le malheur d’être moins appliqué ou compétent que lui, c’est-à-dire… presque tout le monde. Sa maitrise des chapelets de jurons à faire frémir d’horreur une fleur de trottoir dédalienne n’est plus à vanter.

    Actuellement, Gyvre est Gyvre l’obstiné. Tenace et austère, il ne s’arrête que quand il est parvenu à son but, dans le cas présent se remettre complètement de ses blessures, se refabriquer une paire de papattes bioniques et pour finir récupérer son ancien grade des doigts griffus de son nouveau sous-lieutenant de maintenance. En bref, tout un programme…

    Il est également à signaler qu’il existerait un quatrième Gyvre, Gyvre le Berzerker. Une légende urbaine prétend que si on lui ramène un chasseur en miettes ou si on lui casse un peu trop les pieds en escales à terre, Gyvre pèterait sa dernière pile, avec pour conséquences hématomes en séries, fractures ouvertes ou non et autres désagréments pour le coupable de la crise. Et ça, c’est uniquement si on parvient à stopper Iron Man à temps…

    Don : Gyvre a un don inné pour le combat, notamment à mains nues. Il pratique assidûment un certain nombres de sports de combat, notamment les différents types de boxe, thaïlandaise ou anglaise, le karaté et la lutte, tout en complétant le tableau avec son expérience des combats de rue. Il est aussi très doué pour impressionner ou pour terrifier les autres, ayant élevé le regard assassin et les engueulades féroces au rang d’art.

    En plus de cela, il est devenu à force de travail et d’acharnement un mécanicien de talent, à l’efficacité sans pareille sur Adonis. Ses connaissances et son rythme de travail effréné sont accompagnées d’une créativité qui lui permet de régler un certain nombre de problèmes techniques par des méthodes peu communes.

    Relations : Pas de relations particulières avec des membres de l’Adonis en particulier. Il n’est pas pour le moment plus proche de certains de ses camarades que des autres, buvant avec eux, s’amusant ou les traitant de tous les noms pour une broutille. Ah si, une relation conflictuelle avec ses supérieurs hiérarchiques, et notamment son lieutenant, qui aimerait bien que le chien fou de la maintenance parte à la niche…

    Histoire : Gyvre est né au beau milieu du mois de Juin 3303 dans un hôpital de Troie. Il y vécut une enfance paisible de gamin hyperactif et mégaturbulent, ne tenant jamais en place et en faisant voir des vertes et des pas mûres à tous les adultes du quartier. Pour essayer de clamer leur bambin, les parents du petit Gyvre ont tout essayé : des mentalistes qui essayèrent de décrypter ce qui clochait dans la tête de l’impertinent gamin, des espèces de gourous à la noix qui tentèrent d’inculquer des techniques de relaxation méditative à Gyvre et qui s’en mirent plein les poches… Désespérés, sur les conseils d’un mentaliste de trop, ils décidèrent de l’inscrire dans des cours d’arts martiaux alors qu’il avait 13 ans. Le résultat ne se fit pas attendre : non seulement Gyvre ne se calmait pas, mais en plus de cela il devenait même de plus en plus violent, passant à tabac sans hésiter ceux qui lui marchaient sur les pieds. Ceci ajouté au fait qu’à ses 16 ans, Gyvre était devenu un adolescent d’1m80 musclé comme un dieu grec fut le coup de trop pour ses parents, bien incapables de lui faire entendre raison ou de le maîtriser. Il décidèrent d’envoyer Gyvre dans un établissement pour jeunes ultraviolents. Cela se passa le jour de ses 16 ans, et ce fut la dernière fois que Gyvre revit ses parents.

    Seulement, le fameux établissement était en réalité un centre de recrutement d’hommes de main pour la pègre plus ou moins locales et autres GLV, groupuscules à légalité variables. Pendant deux ans il enchaîna les employeurs, jamais avec le même patron pendant plus de deux semaines en raison de gros soucis d’insubordination, le genre de truc que les mafieux de tout poil n’aiment pas particulièrement. Finalement, un capitaine pirate décida quand même de l’acheter pour une bouchée de pain.

    Capitaine était en fait un grand mot : il commandait à peine une cinquantaine d’hommes et une frégate furtive, le Darknest, et leur principale source de revenus était l’abordage et le pillage de vaisseaux de plaisance, une activité lucrative et enthousiasmante pour le jeune Gyvre. Stance, le capitaine de toute cette clique de pirates, avait compris comment gérer le jeune matelot : il suffisait d’aborder suffisamment de vaisseaux pour que Gyvre ne s’ennuie jamais vraiment et ne pête pas une pile dans le vaisseau. En revanche, en première ligne de l’assaut, il pouvait pêter des piles si ça lui chantait, tant que c’était sur l’ennemi…

    C’est sur le Darknest que Gyvre fit ses classes de pirate, devenant à 24 ans le chef de la troisième bande d’assaut, menant alors au combat 10 hommes. Tout se passait sans trop d’histoires, jusqu’au jour où, excédés par les exactions des forbans du Darknest, les marchands de Troie armèrent des mercenaires pour se débarrasser de cette nuisance. L’affrontement eu lieu dans un bar paumé de Troie, où l’équipage du Darknest avait ses habitudes et fut d’une brutalité peu commune. Inférieurs en équipement et pris au dépourvus, les pirates furent décimés. Quand Stance ordonna le repli, il n’avait plus que 32 hommes sous ses ordres. Malheureusement, les mercenaires ouvrirent le feu avec des roquettes à fusion alors que les pirates entraient dans le Darkest. Le résultat fut effroyable : 13 hommes moururent sur le champ ou après une lente agonie. Stance fut de ceux là, et Gyvre lui, dut abandonner ses deux jambes, gravement blessées, que le médecin de bord amputa alors même que le Darknest s’arrachait à la gravité de Troie pour trouver un horizon meilleur.

    Incapables de survivre seuls, les survivants du Darknest, commandé par le second de Stance, Herwyn, mirent leur fierté de côté et entreprirent de demander à être intégrés à un autre vaisseau pirate. Ce fut la Vivenef Adonis qui répondit en premier par l’affirmative, et ce fut vers l’Adonis que se dirigea le Darknest.Gyvre avait alors 26 ans. La plupart de ceux qui avaient survécu étaient le personnel de bord non combattant et ils furent envoyés dans les sections correspondantes de l’Adonis. Pour Gyvre, la situation était déjà plus préoccupante, en effet il fallut l’hospitaliser à nouveau une fois à bord de la Vivenef. Quand il fut rétabli, il fut décidé de l’envoyer à la maintenance : en effet, ils ne pouvaient se passer d’un membre d’équipage de plus, même infirme, la piratrie n’étant pas un domaine où beaucoup de monde souhaite se lancer. Incapable de se battre, trop irréfléchi pour la section tactique, trop peu intelligent pour la section astrogation, Gyvre fut muté dans la section maintenance de l’Adonis, puisqu’elle comportait beaucoup de ses anciens camarades du Darknest.

    Ce travail aurait pu le rendre encore plus dingue, lui qui détestait s’ennuyer, mais le résultat fut surprenant : Gyvre se lança à corps perdu dans la mécanique, apprenant sur le tard à une vitesse stupéfiante. Il puisa dans ses nouvelles atributions et parvint à stabiliser son caractère frondeur, effronté et imprévisible, devenant étrangement sérieux, ne s’arrêtant de travailler que pour dormir quelques heures et pour les repas. Il passa maître de 2ème ordre puis de 1er ordre en un an et décrocha le rang d’enseigne section maintenance au courant de sa 28ème année. Avec les économies faites sur sa paye, il commença alors à travailler sur un projet personnel, le premier depuis son arrivée dans la vivenef : se construire une nouvelle paire de jambes. Il lui fallut plus de 200 heures réparties sur un peu moins de 3 mois, une bonne dose d’huile de coude et toute son obstination pour parvenir à un résultat satisfaisant, si bien que, le jour anniversaire de la perte de ses jambes, le 23 mars 3331, Gyvre marchait à nouveau.

    En retrouvant ses jambes, Gyvre retrouva aussi son caractère irrascible et vindicatif, au grand déplaisir de ses supérieurs, mais la qualité et l’efficacité de son travail ne diminua pas malgré ses exploits en dehors des ateliers, aussi finit-il par être nommé sous lieutenant quand le lieutenant d’alors décida d’aller prendre une petite retraite bien méritée loin des ronflements de moteurs. Toute la hiérarchie de la section maintenance fut hissée d’un cran vers le haut, et Gyvre devint contre toute attente sous lieutenant de la section maintenance. 6 mois ont passés depuis et Gyvre est maintenant devenu célèbre comme étant le seul officier à mettre les mains dans le cambouis et à enguirlander copieusement tous ceux qui sont assez fous ou maladroits pour avoir dégommé quelque chose, qu’il s’agisse d’une partie de la Vivenef elle-même ou d’un simple blaster de l’arsenal.

    Depuis peu, notre cher ami Gyvre a connu cependant quelques désagréments. Un hangar dépressurisé de trop, une combinaison antivide -pourquoi faire ? - non mise, et bilan des courses : un Gyvre retrouvé dans le coma, au bord de la mort, ses jambes mécaniques broyées sous un chasseur et son corps maculé de schrapnels, résidus de coque en pièces détachées et autres. Bilan des courses : 5 jours de coma, plus quelques mois de rééducation, du moins en théorie. Son poste de sous-lieutenant fut donné à quelqu’un de plus apte à agir (et de plus apte à suivre les ordres…) et il fut rétrogradé au rang d’enseigne, pour, et je cite « faute grave ayant entrainé une destruction d’un hangar ». Quand on vous dit que le lieutenant ne l’aime pas…

    Quoi qu’il en soit, Gyvre est toujours là, bien vivant et très moyennement content. Il vaudrait mieux ne pas lui donner d’occasions de vous voler dans les plumes…
    Erylianen Noerya
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    Gyvre McWild, enseigne de maintenance [Terminé] Empty Re: Gyvre McWild, enseigne de maintenance [Terminé]

    Message par Erylianen Noerya Dim 12 Juil 2009 - 0:57

    Bon, déjà, bonsoir/jour/matin (c'est selon) et peut-être devrais-je commencer par une petite excuse quand au temps d'attente que tu as eut jusque là avant qu'on ne s'occupe de toi.

    Bon, en même temps, vacances, études, net qui flanche n'ont pas été d'un grand secours... Enfin bon, désolé quand même.

    Alors, aujourd'hui, pas de grande et belle critique. juste une remarque ou deux...

    Sans vouloir être particulièrement méchant, critique ou autre, je trouve qu'il aurait été de bon ton de te renseigner un peu quant à la situation du scénario avant de relancer le perso. Si ça avait été le cas, tu aurais vu que le scénario est loin d'être finit. Hors, ton bout de ré-intégration prends place après le scénar... mais qui te dit qu'Adonis existera toujours ? Que tu perdras des grades alors qu'il y aura sans doute une perte de membre d'équipage ? Qu'adonis sera tranquillement dans l'espace ? En clair : c'est se baser sur des informations que tu n'as pas encore et qui ne sont par conséquent pas viable.

    Donc, il va falloir changer ça, à moins que tu ne souhaites pas jouer avant un moment...


    Bon, évidement, c'est pas évident de faire revenir un vivant du monde des morts (saint seiya l'a fait, donc, tout est possible. Fait bruler ton cosmos.) mais je suis sûr qu'on peut trouver quelque chose... genre...

    Ne peut-on pas dire qu'une fois le trou fait, ton personnage a commencé, accompagné de plein de matériel, à s'envoler vers le trous béant qui aspirait air et éléments... tout le monde a vu le sous-lieut s'envoler, mais chacun était trop occupé à sauver sa peau pour voir que pour une raison X (la sécurité d'adonis qui se met en route et qui pressurise de nouveau le hangar, par exemple) il s'est retrouvé de nouveau à l'intérieur, sauvé par une tonne de débris qui lui sont ensuite tombé dessus.

    Le temps qu'on le retrouve, il est considéré comme mort, puis finalement, sauvegarde miraculeuse. Et tu pourrais jouer le moment où on te retrouve avec des volontaires dans le hangar.

    Bon, c'est une idée, il en existe sans doute plein d'autre, à toi de faire preuve d'originalité pour un retour dans la continuité du scénario. Et qui soit plausible, mais ça, compote sur nous pour te signaler le contraire.

      La date/heure actuelle est Jeu 28 Mar 2024 - 18:11

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