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Quant Ethan avait quitté Andréa Cyn, il avait croisé le commandant, qui rendait manifestement visite au prisonnier elle aussi. Le bosco avait joyeusement souri à la femme, Maruk s’était aplati museau contre terre le temps qu’elle passe, et les deux compères avaient tranquillement continué leur chemin. En apparence du moins…
Parce que Pandore s’était manifesté, et que ça n’arrivait pas tant que ça. Et que Jan Sanada, et non pas Ethan Geetaï, se devait de laisser traîner une oreille aussi discrète qu’indiscrète. Et l’oreille, elle lui dit que la situation n’allait sans doute pas tarder à bouger.
C’est encore Jan Sanada, et non pas l’affable Ethan, qui se dirigeait ensuite d’un pas rapide vers sa cabine, son chien étonné sur les talons. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas revu le visage dur et inexpressif de son maître, et ça ne devait pas manquer d’étonner les membres d’équipage que le faux bosco aurait pu croiser.
Une fois dans sa cabine avec Maruk, Jan verrouilla la porte derrière lui et enclencha le poste de communication interspatial qu’il avait amené avec lui. Léger, discret et le dernier cri des technologies des défenses du Cercle, un vrai bijou !
C’était par son intermédiaire que le commodore contactait ses hommes régulièrement, à coups de messages soigneusement cryptés et recryptés. Réfléchissant à toute vitesse, il enclencha l’appareil et se mit à parler d’un ton clair mais sans appel :
« Les amis, c’est Jan. A l’attention du Sélène. John ? J’aimerais que la frégate soit prête à faire face à des ennuis. De gros si ce que j’ai entendu est vrai. Pandor aurait reçu un appel de Mars et somme son commandant de s’y rendre de toute urgence. Une histoire entre les vivenefs, et le complexe de la planète. Je vous enverrai un message avant que Pandore ne saute pour Mars ; dix minutes après l’avoir reçu, faites de même. Une fois en vue des vivenefs, désactivez le signal du Cercle et battez pavillon inconnu. Intervenez si besoin est. On a encore besoin de Pandore et de son équipage, alors j’aimerais éviter un désastre comme Dédale. Et…faites attention à vous. Jan, terminé. »
Une fois la communication transmise, il se laissa aller sur sa couche, songeur, tandis que Maruk venait le réconforter en quémandant caresses et gratouilles. Ethan s’inquiétait pour l’équipage, Jan pour la mission, et tous deux se demandaient au devant de quoi Pandore allait les amener.
Il espérait seulement qu’il avait fait le bon choix…
Parce que Pandore s’était manifesté, et que ça n’arrivait pas tant que ça. Et que Jan Sanada, et non pas Ethan Geetaï, se devait de laisser traîner une oreille aussi discrète qu’indiscrète. Et l’oreille, elle lui dit que la situation n’allait sans doute pas tarder à bouger.
C’est encore Jan Sanada, et non pas l’affable Ethan, qui se dirigeait ensuite d’un pas rapide vers sa cabine, son chien étonné sur les talons. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas revu le visage dur et inexpressif de son maître, et ça ne devait pas manquer d’étonner les membres d’équipage que le faux bosco aurait pu croiser.
Une fois dans sa cabine avec Maruk, Jan verrouilla la porte derrière lui et enclencha le poste de communication interspatial qu’il avait amené avec lui. Léger, discret et le dernier cri des technologies des défenses du Cercle, un vrai bijou !
C’était par son intermédiaire que le commodore contactait ses hommes régulièrement, à coups de messages soigneusement cryptés et recryptés. Réfléchissant à toute vitesse, il enclencha l’appareil et se mit à parler d’un ton clair mais sans appel :
« Les amis, c’est Jan. A l’attention du Sélène. John ? J’aimerais que la frégate soit prête à faire face à des ennuis. De gros si ce que j’ai entendu est vrai. Pandor aurait reçu un appel de Mars et somme son commandant de s’y rendre de toute urgence. Une histoire entre les vivenefs, et le complexe de la planète. Je vous enverrai un message avant que Pandore ne saute pour Mars ; dix minutes après l’avoir reçu, faites de même. Une fois en vue des vivenefs, désactivez le signal du Cercle et battez pavillon inconnu. Intervenez si besoin est. On a encore besoin de Pandore et de son équipage, alors j’aimerais éviter un désastre comme Dédale. Et…faites attention à vous. Jan, terminé. »
Une fois la communication transmise, il se laissa aller sur sa couche, songeur, tandis que Maruk venait le réconforter en quémandant caresses et gratouilles. Ethan s’inquiétait pour l’équipage, Jan pour la mission, et tous deux se demandaient au devant de quoi Pandore allait les amener.
Il espérait seulement qu’il avait fait le bon choix…
[Topic fini, et oui, c'était juste pour l'info.^^]