Prologue ;-))): Voici l'histoire de mon personnage, ses caractères vont suivre prochainement j'espère. L'histoire est longue, mais j'ai l'impression que vous aimez bien lire, je me trompe ? Enfin, j'espère que ça ne sera pas ennuyant.
Pardonnez-moi aussi s'il apparaît dans ce rp et/ou dans mes futurs -éventuels- posts des incohérences, c'est la première fois que je m'inscrit sur un Rpg futuriste !
Voilà, j'espère que vous apprécierez ! (Sinon dites-moi ce que je devrais penser à corriger svp !!)
Merci de votre compréhension,
Alagos
La mer. L’horizon. Le vent, la brise que vous sentez glisser sur votre joue. Le sel qui se pose sur votre peau. La houle que brise vaillamment le vaisseau de guerre. Il n’y a pas de mouettes, il n’y a pas d’oiseaux, il n’y a pas de terre au loin. Non, nous sommes en plein milieu de cette mer, dangereuse, mystérieuse, attirante… Femme fatale ? Allez savoir.
La voile claque dans l’air… Ou plutôt, les voiles, oui, car là, au loin, je vois un autre navire ! Le bruit des canons. Le bruit des boulets qui atteignent leur cible. Le fracas du bois qui se déchire. Un mat qui casse et qui s’écrase sur le pont. Les hurlements de moussaillons qui meurent sur ce dernier. Le son du fer qui se croise. Le son des pistolets qui tirent, qui tuent. La douce chanson du sang qui coule, d’une main plongée dans l’or, d’un nouveau pillage remporté, d’un festin qui se prépare. Le bâtiment adverse est coulé et bientôt il ira gire au fond des eaux, pour l’Eternité. Et nous, nous chantons, nous buvons, nous festoyons !
La musique. Douce ou plus forte. La vieille musique, celle de nos vieux, le Jazz, le Blues. Ou notre musique, le renouveau du Rock'n'Roll !
Années passées et oubliées, des hommes à la peau noire nous apprennent comment tenir un saxophone en main.
Année 2006, Firts Impressions of Earth (1) sort en album.
Année 2007, Icky Thump (1) sort en album.
Ces Compact Disc sont lisibles sur des chaînes stéréo normales. Ces chaînes stéréo étaient-elles vouées à disparaître ? Peut-être… Mais comme toujours, certains en conserveront une ou l’autre… Qu’on retrouvera bien quelque part.
L’Explosion. Violente. Destructrice. Adieu.
Les Vivenefs voguent dans l’espace, elles sont parties. Ce sont d’étranges créatures. D’ailleurs, tout le monde ne comprend pas vraiment ce qu’elles sont, sinon l’Espoir. Mais tout le monde n’a pas non plus la chance de voyager à bord de ces vaisseaux. Non, certains traversent le noir qui compose le vide de cet univers dans leur sillage. Certains, ce sont des familles riches terriennes qui ont parfois mis leurs vaisseaux de transport à disposition d’une population plus pauvre, pour que ceux-ci viennent aussi. Ce sont aussi des vaisseaux de luxe, des « Voyager » comme on peut les appeler. Et puis, parmi eux, il y a le « Veritas », commandé par un homme assez fou. Il a à son bord de drôles de gens, pour la plupart de très pauvres personnes, des réfugiés, des vrais. Il a aussi quelques prisonniers, arrivés là par hasard. Des criminels. Et enfin, il a sa famille. Toute sa famille. De son père à son petit-fils, en passant par frères et sœurs, oncles et tantes. Sa famille à qui il lègue déjà son vaisseau, car il sait qu’il ne verra peut-être pas l’aboutissement de ce voyage. Oui, il le sait.
« Terre ! Terre ! »
Une voix grincheuse, la même que celle de son père, mort quelques années auparavant. Il avait légué le navire à son premier fils, comme promis.
« Paraît que ces foutues Vivenefs ont trouvé un endroit où fait bon vivre ! »
« Je n’en suis pas si sûre Commandant. »
« Et pourquoi donc, hé, jeun’donzelle ? »
Le Commandant ne se souciait guère des « bonnes manières », ou des formule de « politesse », la « jeun’donzelle » étant tout de même un officier à bord du « Veritas » .
« Et bien, d’après les rapports transmis par les Vivenefs, cette planète serait en réalité un vaste désert aux ressources rares. »
« Merde. Foutues Vivenefs de merde. Pourquoi qu’ nous ont pas laissé sur Mars ou dans les parages ? Hein ? Qu’est-ce qu’y en avaient à foutre d’avoir un nouveau paysage ? C’était trop triste, mon cul. Et maintenant, sont pas foutus de nous trouver un bel endroit. Vingt-trois ans qu’on vient de perdre bordel ! Vingt-trois ans pour un désert. Foutues Vivenefs. Mon père rirait bien si voyait ça. Y doivent se marrer là où l’est maint’nant, ah ça oui ! Doivent bien se marrer ! »
« … . Que fait-on alors, Commandant ? Les messages reçus disent que les Colons vont bâtir une ville sur la planète. Est-ce qu’on les suit ? »
« Qu’est-ce v’voulez qu’on fasse d’aut’ ? On va pas se mettre à jouer les héros, si ? Pas b’soin d’songer à ça ma donzelle. On va y aller sur c’te foutue planète, dans c’foutu désert. Mais je veux pu entend’ parler de ces Vivenefs moi. On ira se poser ailleurs, et on fera not’ affaire là ! »
Il rit. Aussi fou que son père très certainement.
""Tout le monde se servait d’une même langue et des mêmes mots. Comme les hommes se déplaçaient à l’orient, ils trouvèrent une vallée au pays de Shinéar et ils s’y établirent. Ils se dirent l’un à l’autre : « Allons ! Faisons des briques et cuisons les au feu ! »
La brique leur servit de pierre et le bitume leur servit de mortier. Ils dirent : « Allons ! Bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet pénètre les cieux ! Faisons-nous un nom et ne soyons pas dispersés sur toute la Terre ! »""
Treize après l’arrivée du « Veritas » dans un désert de Troie, Siathïn obtient le droit de porter le nom de cité. Elle est située dans une sorte d’oasis, où l’eau est présente en relativement grande quantité, ou du moins, où elle est coule de source. Cela permet à la ville de ne pas être trop dépendante de la Capitale, et de toute la planète elle-même. Elle commerce avec d’autres Cités qui comme elle, ont été érigées dans ce vaste désert, et reste le plus à l’écart du monde. Siathïn, en souvenir du nom d’un domaine de l’Ancienne Terre, celui du père du Commandant, celui de la famille Setaf.
Siathïn, après ces treize années, reste une ville méconnue de beaucoup de monde, et surtout des gens de Dédale et des grandes villes de Troie. Tant mieux, mais les temps changeront.
Et les peuples se dispersèrent, et les peuples affluèrent.
De par le fait que Siathïn -comme toutes les villes du désert-, n’opte pas pour les liens avec la Capitale et autres mégapoles, sa technologie est d’un niveau bien inférieur à ces dernières. La Cité s’enlaidit avec le temps, ses buildings deviennent vieux, et le climat commence à devenir lourd là-bas. Vols, meurtres, délits. Alors que de leur côté, les Vivenefs -humains et Vivenefs- viennent de découvrir Avalon, Siathïn elle attire d’autres personnes : les criminels et prisonniers en fuite, et tout autres gens de la même classe. Les bas-fonds de la Cité sont en passe de devenir Heart Quarter (2) des gens de mauvaise compagnie, et bientôt, la ville elle-même sera dirigée par eux. Leur avantage ? Les polices de Troie ne s’aventurent pas à Siathïn, ni même dans une grande partie du désert, qui devient une véritable et géante cachette. De plus, le commerce avec les contrebandiers et pirates va bon train ; on ne peut dire en fait, que le peuple de Siathïn vit mal, si ce n’est qu’il est dirigé par des brigands.
Pour ce qui est de la famille Setaf, elle est oubliée. On se rappellera juste de Siathïn. Malgré cela, les Setaf ne se sont pas éteints. Ils vivent en tant que riches familles dans Siathïn. Certains sont corrompus eux aussi, et ça leur rapporte gros. D’autres se sont retirés complètement de ce carnage, et vivent là en érudits. Et peu à peu, on les oublie.
Pardonnez-moi aussi s'il apparaît dans ce rp et/ou dans mes futurs -éventuels- posts des incohérences, c'est la première fois que je m'inscrit sur un Rpg futuriste !
Voilà, j'espère que vous apprécierez ! (Sinon dites-moi ce que je devrais penser à corriger svp !!)
Merci de votre compréhension,
Alagos
Alagos Setaf, El Nath
La mer. L’horizon. Le vent, la brise que vous sentez glisser sur votre joue. Le sel qui se pose sur votre peau. La houle que brise vaillamment le vaisseau de guerre. Il n’y a pas de mouettes, il n’y a pas d’oiseaux, il n’y a pas de terre au loin. Non, nous sommes en plein milieu de cette mer, dangereuse, mystérieuse, attirante… Femme fatale ? Allez savoir.
Ancienne Terre ~ XVIIIe Siècle
La voile claque dans l’air… Ou plutôt, les voiles, oui, car là, au loin, je vois un autre navire ! Le bruit des canons. Le bruit des boulets qui atteignent leur cible. Le fracas du bois qui se déchire. Un mat qui casse et qui s’écrase sur le pont. Les hurlements de moussaillons qui meurent sur ce dernier. Le son du fer qui se croise. Le son des pistolets qui tirent, qui tuent. La douce chanson du sang qui coule, d’une main plongée dans l’or, d’un nouveau pillage remporté, d’un festin qui se prépare. Le bâtiment adverse est coulé et bientôt il ira gire au fond des eaux, pour l’Eternité. Et nous, nous chantons, nous buvons, nous festoyons !
***
La musique. Douce ou plus forte. La vieille musique, celle de nos vieux, le Jazz, le Blues. Ou notre musique, le renouveau du Rock'n'Roll !
Ancienne Terre ~ XXIe Siècle
Années passées et oubliées, des hommes à la peau noire nous apprennent comment tenir un saxophone en main.
Année 2006, Firts Impressions of Earth (1) sort en album.
Année 2007, Icky Thump (1) sort en album.
Ces Compact Disc sont lisibles sur des chaînes stéréo normales. Ces chaînes stéréo étaient-elles vouées à disparaître ? Peut-être… Mais comme toujours, certains en conserveront une ou l’autre… Qu’on retrouvera bien quelque part.
***
L’Explosion. Violente. Destructrice. Adieu.
Espace ~ XXIe Siècle, 2084
l’Exode
l’Exode
Les Vivenefs voguent dans l’espace, elles sont parties. Ce sont d’étranges créatures. D’ailleurs, tout le monde ne comprend pas vraiment ce qu’elles sont, sinon l’Espoir. Mais tout le monde n’a pas non plus la chance de voyager à bord de ces vaisseaux. Non, certains traversent le noir qui compose le vide de cet univers dans leur sillage. Certains, ce sont des familles riches terriennes qui ont parfois mis leurs vaisseaux de transport à disposition d’une population plus pauvre, pour que ceux-ci viennent aussi. Ce sont aussi des vaisseaux de luxe, des « Voyager » comme on peut les appeler. Et puis, parmi eux, il y a le « Veritas », commandé par un homme assez fou. Il a à son bord de drôles de gens, pour la plupart de très pauvres personnes, des réfugiés, des vrais. Il a aussi quelques prisonniers, arrivés là par hasard. Des criminels. Et enfin, il a sa famille. Toute sa famille. De son père à son petit-fils, en passant par frères et sœurs, oncles et tantes. Sa famille à qui il lègue déjà son vaisseau, car il sait qu’il ne verra peut-être pas l’aboutissement de ce voyage. Oui, il le sait.
***
« Terre ! Terre ! »
Troie ~ XXIIe Siècle, 2107
Découverte
Découverte
Une voix grincheuse, la même que celle de son père, mort quelques années auparavant. Il avait légué le navire à son premier fils, comme promis.
« Paraît que ces foutues Vivenefs ont trouvé un endroit où fait bon vivre ! »
« Je n’en suis pas si sûre Commandant. »
« Et pourquoi donc, hé, jeun’donzelle ? »
Le Commandant ne se souciait guère des « bonnes manières », ou des formule de « politesse », la « jeun’donzelle » étant tout de même un officier à bord du « Veritas » .
« Et bien, d’après les rapports transmis par les Vivenefs, cette planète serait en réalité un vaste désert aux ressources rares. »
« Merde. Foutues Vivenefs de merde. Pourquoi qu’ nous ont pas laissé sur Mars ou dans les parages ? Hein ? Qu’est-ce qu’y en avaient à foutre d’avoir un nouveau paysage ? C’était trop triste, mon cul. Et maintenant, sont pas foutus de nous trouver un bel endroit. Vingt-trois ans qu’on vient de perdre bordel ! Vingt-trois ans pour un désert. Foutues Vivenefs. Mon père rirait bien si voyait ça. Y doivent se marrer là où l’est maint’nant, ah ça oui ! Doivent bien se marrer ! »
« … . Que fait-on alors, Commandant ? Les messages reçus disent que les Colons vont bâtir une ville sur la planète. Est-ce qu’on les suit ? »
« Qu’est-ce v’voulez qu’on fasse d’aut’ ? On va pas se mettre à jouer les héros, si ? Pas b’soin d’songer à ça ma donzelle. On va y aller sur c’te foutue planète, dans c’foutu désert. Mais je veux pu entend’ parler de ces Vivenefs moi. On ira se poser ailleurs, et on fera not’ affaire là ! »
Il rit. Aussi fou que son père très certainement.
***
""Tout le monde se servait d’une même langue et des mêmes mots. Comme les hommes se déplaçaient à l’orient, ils trouvèrent une vallée au pays de Shinéar et ils s’y établirent. Ils se dirent l’un à l’autre : « Allons ! Faisons des briques et cuisons les au feu ! »
La brique leur servit de pierre et le bitume leur servit de mortier. Ils dirent : « Allons ! Bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet pénètre les cieux ! Faisons-nous un nom et ne soyons pas dispersés sur toute la Terre ! »""
Siathïn, Troie ~ XXIIe Siècle, 2120
Construction
Construction
Treize après l’arrivée du « Veritas » dans un désert de Troie, Siathïn obtient le droit de porter le nom de cité. Elle est située dans une sorte d’oasis, où l’eau est présente en relativement grande quantité, ou du moins, où elle est coule de source. Cela permet à la ville de ne pas être trop dépendante de la Capitale, et de toute la planète elle-même. Elle commerce avec d’autres Cités qui comme elle, ont été érigées dans ce vaste désert, et reste le plus à l’écart du monde. Siathïn, en souvenir du nom d’un domaine de l’Ancienne Terre, celui du père du Commandant, celui de la famille Setaf.
Siathïn, après ces treize années, reste une ville méconnue de beaucoup de monde, et surtout des gens de Dédale et des grandes villes de Troie. Tant mieux, mais les temps changeront.
***
Et les peuples se dispersèrent, et les peuples affluèrent.
Siathïn, Troie ~ XXIVe Siècle, 2309
Changements
Changements
De par le fait que Siathïn -comme toutes les villes du désert-, n’opte pas pour les liens avec la Capitale et autres mégapoles, sa technologie est d’un niveau bien inférieur à ces dernières. La Cité s’enlaidit avec le temps, ses buildings deviennent vieux, et le climat commence à devenir lourd là-bas. Vols, meurtres, délits. Alors que de leur côté, les Vivenefs -humains et Vivenefs- viennent de découvrir Avalon, Siathïn elle attire d’autres personnes : les criminels et prisonniers en fuite, et tout autres gens de la même classe. Les bas-fonds de la Cité sont en passe de devenir Heart Quarter (2) des gens de mauvaise compagnie, et bientôt, la ville elle-même sera dirigée par eux. Leur avantage ? Les polices de Troie ne s’aventurent pas à Siathïn, ni même dans une grande partie du désert, qui devient une véritable et géante cachette. De plus, le commerce avec les contrebandiers et pirates va bon train ; on ne peut dire en fait, que le peuple de Siathïn vit mal, si ce n’est qu’il est dirigé par des brigands.
Pour ce qui est de la famille Setaf, elle est oubliée. On se rappellera juste de Siathïn. Malgré cela, les Setaf ne se sont pas éteints. Ils vivent en tant que riches familles dans Siathïn. Certains sont corrompus eux aussi, et ça leur rapporte gros. D’autres se sont retirés complètement de ce carnage, et vivent là en érudits. Et peu à peu, on les oublie.
***
Dernière édition par le Mer 1 Aoû 2007 - 22:09, édité 1 fois