Tout doucement, un paisible camping, encore enlacé dans sa torpeur, s'éveillait. Un soleil naissant déversait ses rayons, les laissant glisser entre les tentes comme une coulée d'or, ou, comme dirait certain, comme de la mélasse.
Les habitants temporaires de ce minuscule village commencèrent tranquillement à s'agiter ou continuèrent un rêve interrompu trop tôt. Qu'importait, dans le fond, puisque c'était les vacances ! Il n'y avait plus là de militaires, ou de pirates et contrebandiers. Juste des vacanciers.
Ainsi chacun, sans connaitre son voisin, sans avoir eut vent son histoire, sa provenances ou son occupation, vivait en paix avec un parfait inconnu qui pouvait très bien se révéler être son pire ennemis. Mais le Hasard, qui subira ici une personnification anthropomorphique, n'en avait que faire et ne se portait pas garant de ce qui allait se passer ici. De plus, il s'en frottait déjà les doigts à l'idée des imbécilités possibles et se préparait les pop-corns avec une certaine exaltation, comme quand on se dit qu'on va voir un bon film.
Mais laissons le Hasard profiter seul de ses friandises et décrivons rapidement les lieux, voulez-vous ?
Le camping possédait tout ce qu'on pouvait y attendre : un coin propreté avec douches et lavabos communs, une partie toilettes à l'hygiène parfois douteuse, un bac à vaisselle où microbes et bactéries profitaient de vacances club-med avec la nourriture apportée sur place, une partie cuisine avec tables, ustensiles et barbecue fournit en plus ou moins bon état... Et encore d'autre coins qu'on pouvait attendre d'un camping digne de ce nom, celui ci fut-il abandonné ou non.
Mais surtout, le petit plus de ce camping (à part un prix plus qu'avantageux suite à la désertion de ses propriétaires) était bien que derrière une rangée d'arbres semblable à une écharpe après un festin de mites, se trouvait une plage chatouillée en permanence par la mer. Pelles, seaux, terrains de sports sommairement aménagés, serviettes de plages et parasols disposés par Hasard, jonchaient l'étendu de sable, attendant de nouvelles mains pour les manier.
Et Hasard, souriant, prit une sucette en attendant le spectacles qu'il espérait loufoque, qui allait se jouer devant lui.
(Voilà, c'est ouvert ! C'est une présentation sommaire des lieux, alors, faîtes preuves d'imaginations pour rendre tout ça drôle ! Et encore une fois, pas de contrainte, y participe qui veut, où il veut et quand il veut. Vous pouvez ajouter les éléments, ridiculiser votre personnage (c'est même fortement conseillé), bref... amusez vous ! )
Les habitants temporaires de ce minuscule village commencèrent tranquillement à s'agiter ou continuèrent un rêve interrompu trop tôt. Qu'importait, dans le fond, puisque c'était les vacances ! Il n'y avait plus là de militaires, ou de pirates et contrebandiers. Juste des vacanciers.
Ainsi chacun, sans connaitre son voisin, sans avoir eut vent son histoire, sa provenances ou son occupation, vivait en paix avec un parfait inconnu qui pouvait très bien se révéler être son pire ennemis. Mais le Hasard, qui subira ici une personnification anthropomorphique, n'en avait que faire et ne se portait pas garant de ce qui allait se passer ici. De plus, il s'en frottait déjà les doigts à l'idée des imbécilités possibles et se préparait les pop-corns avec une certaine exaltation, comme quand on se dit qu'on va voir un bon film.
Mais laissons le Hasard profiter seul de ses friandises et décrivons rapidement les lieux, voulez-vous ?
Le camping possédait tout ce qu'on pouvait y attendre : un coin propreté avec douches et lavabos communs, une partie toilettes à l'hygiène parfois douteuse, un bac à vaisselle où microbes et bactéries profitaient de vacances club-med avec la nourriture apportée sur place, une partie cuisine avec tables, ustensiles et barbecue fournit en plus ou moins bon état... Et encore d'autre coins qu'on pouvait attendre d'un camping digne de ce nom, celui ci fut-il abandonné ou non.
Mais surtout, le petit plus de ce camping (à part un prix plus qu'avantageux suite à la désertion de ses propriétaires) était bien que derrière une rangée d'arbres semblable à une écharpe après un festin de mites, se trouvait une plage chatouillée en permanence par la mer. Pelles, seaux, terrains de sports sommairement aménagés, serviettes de plages et parasols disposés par Hasard, jonchaient l'étendu de sable, attendant de nouvelles mains pour les manier.
Et Hasard, souriant, prit une sucette en attendant le spectacles qu'il espérait loufoque, qui allait se jouer devant lui.
(Voilà, c'est ouvert ! C'est une présentation sommaire des lieux, alors, faîtes preuves d'imaginations pour rendre tout ça drôle ! Et encore une fois, pas de contrainte, y participe qui veut, où il veut et quand il veut. Vous pouvez ajouter les éléments, ridiculiser votre personnage (c'est même fortement conseillé), bref... amusez vous ! )