Mélody Camas. Jeune étourdie et non moins pilote prometteuse, arrivée depuis peu sur la Vivenef pirate Adonis. Née de parents originaires de Babylone, Mélody n'a jamais connu sa terre natale et on ne peut pas dire qu'elle lui manque. Comment, quelque chose que l'on ne connait pas, peut-elle nous manquer ? En revanche, cela pourrait être le cas de sa famille. Il n'en est rien. Oh, il lui arrive bien de temps en temps, de penser à eux. Mais elle ne regrette pas sa petite... non, sa grande escapade dans l'espace, et d'avoir rencontré... non, d'avoir manqué percuter Adonis. Elle se dit beaucoup plus heureuse, plus libre ici, entourée de pirates et à piloter des vaisseaux tous plus perfectionnés les uns que les autres, que sur le vieux rafiot de son père, entourée de nomades, à cultiver du chou, et piloter des vieux coucous qui manquaient de tomber en ruine à la première accélération.
Ici, elle avait sa propre chambre, elle pouvait se balader où elle le voulait ou presque, et rencontrer tous ces nouveaux visages étaient pour elle source de bonheur intempestif et inégalé. Un peu trop curieuse, il lui était arrivé d'appuyer sur des boutons qu'elle n'aurait pas dû toucher et qui avait ouvert des sas, ou lancé des drones de reconnaissance dans le vide intersidéral sans le vouloir, mais on avait toujours rattrapé ses bêtises, presque sans broncher... Que demander de plus ? Le commandant, sous ses airs d'ours mal léché la faisait bien rire, et elle commençait à se faire des amis dans les différents secteur. Sa plus grande source de curiosité cependant est, et restera pour un bon moment, Adonis lui-même. Il lui arrive lorsqu'elle le peut et qu'Adonis est libre, de venir le voir, et de lui tenir la discut', comme avec une personne de chair et de sang. L'intelligence artificielle l'émerveille au plus haut point et elle ne cesse de poser des questions sur le sujet dès qu'elle en a l'occasion.
Pour l'heure, Mélody vient de s'éveiller, et c'est l'air hagard qu'elle se dirige vers la douche, quelques affaires en main, sa trousse de toilette sous le bras. D'un pas lent, laissant ses pieds faire tout le travaille, elle se dirige vers la salle d'eau, y dépose ses affaires et se déshabille pour se porter en titubant sous le jet d'eau fumante. Une demi-heure plus tard, elle ressort de la salle d'eau, habillée, coiffée, un tout petit peu, et fraîche comme un gardon, prête pour ses investigation de la journée. Pour le moment, elle n'avait pas de contrainte, on ne l'avait pas encore envoyée en mission. Mais elle voulait continuer à piloter cependant, et surtout monter à bord d'un de ces engins perfectionnés du hangar et voir ce qu'ils avaient dans le ventre... Mais à cette heure, elle n'était pas autorisée à piloter, seule, sans surveillance. C'est donc d'un pas décidé qu'elle se dirigea vers le bar, non pas pour prendre un petit déjeuner, elle ne pouvait rien avaler au réveil, mais juste pour siroter un jus de fruits (ça au moins elle pouvait) et rencontrer de nouvelles têtes...
Elle rentra dans le bar où régnait une ambiance endormie et silencieuse. Elle adressa quelques sourires aux quelques personnes déjà présente, alla s'asseoir au comptoir et commanda un jus de fruits. Lorsque le verre atterrit devant elle, elle le prit en main et se retourna vers l'intérieur de la pièce pour mieux observer les visages qu'elle ne connaissait pas. Elle essaya d'imaginer les noms de chacun, leur fonction sur Adonis leur histoire. Elle se prit tellement à son jeu, qu'elle ne se rendit pas compte des allées et venues de chacun.
Ici, elle avait sa propre chambre, elle pouvait se balader où elle le voulait ou presque, et rencontrer tous ces nouveaux visages étaient pour elle source de bonheur intempestif et inégalé. Un peu trop curieuse, il lui était arrivé d'appuyer sur des boutons qu'elle n'aurait pas dû toucher et qui avait ouvert des sas, ou lancé des drones de reconnaissance dans le vide intersidéral sans le vouloir, mais on avait toujours rattrapé ses bêtises, presque sans broncher... Que demander de plus ? Le commandant, sous ses airs d'ours mal léché la faisait bien rire, et elle commençait à se faire des amis dans les différents secteur. Sa plus grande source de curiosité cependant est, et restera pour un bon moment, Adonis lui-même. Il lui arrive lorsqu'elle le peut et qu'Adonis est libre, de venir le voir, et de lui tenir la discut', comme avec une personne de chair et de sang. L'intelligence artificielle l'émerveille au plus haut point et elle ne cesse de poser des questions sur le sujet dès qu'elle en a l'occasion.
Pour l'heure, Mélody vient de s'éveiller, et c'est l'air hagard qu'elle se dirige vers la douche, quelques affaires en main, sa trousse de toilette sous le bras. D'un pas lent, laissant ses pieds faire tout le travaille, elle se dirige vers la salle d'eau, y dépose ses affaires et se déshabille pour se porter en titubant sous le jet d'eau fumante. Une demi-heure plus tard, elle ressort de la salle d'eau, habillée, coiffée, un tout petit peu, et fraîche comme un gardon, prête pour ses investigation de la journée. Pour le moment, elle n'avait pas de contrainte, on ne l'avait pas encore envoyée en mission. Mais elle voulait continuer à piloter cependant, et surtout monter à bord d'un de ces engins perfectionnés du hangar et voir ce qu'ils avaient dans le ventre... Mais à cette heure, elle n'était pas autorisée à piloter, seule, sans surveillance. C'est donc d'un pas décidé qu'elle se dirigea vers le bar, non pas pour prendre un petit déjeuner, elle ne pouvait rien avaler au réveil, mais juste pour siroter un jus de fruits (ça au moins elle pouvait) et rencontrer de nouvelles têtes...
Elle rentra dans le bar où régnait une ambiance endormie et silencieuse. Elle adressa quelques sourires aux quelques personnes déjà présente, alla s'asseoir au comptoir et commanda un jus de fruits. Lorsque le verre atterrit devant elle, elle le prit en main et se retourna vers l'intérieur de la pièce pour mieux observer les visages qu'elle ne connaissait pas. Elle essaya d'imaginer les noms de chacun, leur fonction sur Adonis leur histoire. Elle se prit tellement à son jeu, qu'elle ne se rendit pas compte des allées et venues de chacun.