Peu importe les prix que tu me donnes. S'il y a bien une chose qui ne se vend pas, pour ma part, c'est bien le corps humain.
Imagine que tu ai besoin d'un coeur, car le tien est malade. Je ne tolèrerai jamais qu'on le doit payer pour vivre. Se faire du fric sur la souffrance des gens m'a toujours mise hors de moi.
En ce qui concerne la prostitution...
Après un petit temps où elle regarda le jeune homme, elle finit :
Car, au vue de tes connaissances dans ce domaine, il est clair que cela a fait partie de ta vie. Et j'espère bien ne pas me tromper en parlant au passé.
Erwyn eut un instant un air menaçant.
Je conçois que parfois, pour survivre, des personnes aillent jusque là. Mais je flinguerais bien tous les proxenètes que je pourrais avoir en ligne de mire.
La prostitution faisait partie de ces choses qu'elle abhorrait. Quand elle pensait que de jeunes filles ou garçons étaient obligés de vendre leur corps, leur vertus, pour n'avoir qu'un quignon de pain (oui bon, elle exagérait peut-être l'image...) cela lui donnait un frisson d'horreur.
En ce qui concerne mes corvées, crois-tu vraiment que je sois le genre de Commandant à décharger mes labeurs sur les épaules d'un jeune freluquet de pilote qui n'a que pour ambition dans la vie que d'obtenir un baiser de son Commandant ?
Allons.
Elle s'avança vers lui, posa sa main sur son épaule et le regardant droit dans les yeux, elle dit :
Grandis.
Imagine que tu ai besoin d'un coeur, car le tien est malade. Je ne tolèrerai jamais qu'on le doit payer pour vivre. Se faire du fric sur la souffrance des gens m'a toujours mise hors de moi.
En ce qui concerne la prostitution...
Après un petit temps où elle regarda le jeune homme, elle finit :
Car, au vue de tes connaissances dans ce domaine, il est clair que cela a fait partie de ta vie. Et j'espère bien ne pas me tromper en parlant au passé.
Erwyn eut un instant un air menaçant.
Je conçois que parfois, pour survivre, des personnes aillent jusque là. Mais je flinguerais bien tous les proxenètes que je pourrais avoir en ligne de mire.
La prostitution faisait partie de ces choses qu'elle abhorrait. Quand elle pensait que de jeunes filles ou garçons étaient obligés de vendre leur corps, leur vertus, pour n'avoir qu'un quignon de pain (oui bon, elle exagérait peut-être l'image...) cela lui donnait un frisson d'horreur.
En ce qui concerne mes corvées, crois-tu vraiment que je sois le genre de Commandant à décharger mes labeurs sur les épaules d'un jeune freluquet de pilote qui n'a que pour ambition dans la vie que d'obtenir un baiser de son Commandant ?
Allons.
Elle s'avança vers lui, posa sa main sur son épaule et le regardant droit dans les yeux, elle dit :
Grandis.